Je me rappelle les premières fois ou j’allais en club échangiste ou libertin, je trouvais impressionnant de toucher une femme devant son mari, j’hésitais longuement.

Il y a quelques mois je suis entré à l'Aphrodisia, monté directement à l’étage, Isabelle faisait une fellation, je l’ai prise en même temps. Après seulement je suis allé lui dire bonjour, avec un smack sur la bouche, comme je la connais et l’apprécie.

J’ai cru un temps que N, qui m’écrivait vouloir sortir de ce milieu, était le terminus, elle qui m’écrivait aussi que j’étais l’homme de sa vie.

Mais N est un trompe les yeux. A les crever.

Qu’y a t’il au delà des terminus? La dernière fois que je suis sorti une femme m’a sauté au cou « Jean-Louis !! je suis contente de te revoir » mais je ne la reconnaissais pas sur l’instant, ce n’est qu’en cherchant bien que je me suis rappelé qu’on avait eu un rapport.

Bien que les filles puissent être jeunes et jolies l’excitation se perd très vite sans l’affectif.

Il faut toujours renouveler soit la situation, soit la personne, on parle de l’accoutumance dans le mariage, mais c’est pareil dans le libertinage pur.

La dernière fois il y avait cette fille, son mari m’a fait signe pour venir. Bien que déjà fatigué en fin de soirée vers cinq heures du matin, j’ai eu un plaisir fabuleux parce que je n’avais jamais eu une femme aussi fine entre les mains, vraiment à faire le tour de sa taille de mes deux mains. Certains sans doute ont même le tort de ne pas la trouver jolie à cause de cela.

Et plus tôt avant elle en soirée Christine dont les mains efficaces m’ont rappelé celles d’Emma de l' Only4you , peu de monde autour d’elle on était tranquille, presque comme si on était à domicile.

Et plus tôt avant elle… Et encore avant elle…

C’est comme si j’avais une femme patchwork ou superposée, un peu comme ces superpositions de multiples photos de personnes, qui donnent une sorte d’image moyenne.

Dans cette femme virtuelle réelle il y a les seins des unes, les bouches de celles qui embrassent, des sexes et des positions, et les personnes avec qui l’on parle.

Sous ensembles qui ne font que se recouper.

Ou est ce que je vais ? le libertinage se referme sur les êtres, on ne peut plus qu’avancer, jusqu’ou peut-on aller plus loin. Mais je ne regrette toujours pas.

Il y a 7 ou 8 ans internet était peu connu, j'y passais des annonces et je dialoguais donc avec des étrangères essentiellement qui venaient en France et que je rencontrais.

A l'époque, avoir internet impliquait automatiquement un certain niveau socio-culturel, on ne risquait pas comme maintenant de tomber sur la paumée du coin.

J'avais donc rendez-vous avec une à je ne sais plus quel métro, sans l'avoir jamais vue, car à l'époque envoyer une photo par internet était une sacrée affaire souvent irréalisable.

Je faisais les 100 pas sur le trottoir, un couple attablé avec d'autres à une terrasse me regardait.

Je me souviens du mari, de son regard qui voulait dire d'évidence: c'est quoi ce mec avec ses cheveux longs qui nous gâche la vue, sans doute encore un pd.

Je me rappellerai toujours son regard quand il a vu la Chinoise que j'attendais arriver, comme il s'est retourné vers son épouse l'air écoeuré de ce que il n'avait pas et n'aurait jamais.

Elle avait la démarche souple et la finesse des asiatiques, indescriptible de féminité, sa robe flottait dans le soleil du soir.

A ce moment, j'ai su que j'avais choisi la bonne voie dans ma vie, j'y repense quand ma vie sans conjoint entraîne forcément des moments de solitude, mais globalement je pense avoir eu plus de bonheur et de joie que la plupart des personnes. Mais aussi plus de déchirures affectives.

Les clubs libertins et échangistes sont donc venus dans ma vie ultérieurement aux rencontres internet (et même minitel!) suite à un gros blême affectif.

J'ai cru à tort au départ que ces clubs seraient une calme vallée sans prise de tête, mais très émaillée de sexe. Quelle erreur, il n'y a rien qui porte plus que ces endroits à la prise de risque affectif lourd. En effet il n'y reste que l'amour désincarné comme rareté à convoiter ou besoin à satisfaire, et l'on ne se méfie pas de tomber dans un égarement non prévu non sexuel dans un club libertin. D'ailleurs un certain nombre dans ces lieux vous confient des secrets de coeur, mais vraiment juste en confidence, quand ils vous connaissent, comme si c'était une honte de ne pas rechercher juste un bon coup ou un partenaire qui puisse être une bonne monnaie d'échange.

Cependant si vous êtes juste c... avec une grosse q... vous ne risquez rien et vous y passerez des soirées super. Si vous avez un plus gros développement cérébral, indépendamment de l'impact de vos attributs, les ci-dessus mentionnés avec points de suspension peuvent être l'occasion de vous rendre compte avec force que l'enfer c'est les autres.

Mais revenons aux asiatiques, leur peau fait penser que la soie a été inventée pour y ressembler, et l'on a toujours avec elles l'impression étrange  qu’à l'instant on a tout compris, et l'instant d'après rien compris.

Et il y a leur regard vraiment impénétrable parfois quand elles se penchent sur vous.

Mais elles ne sont pas du tout impassibles, prise de tête potentielle très forte!

Bon je n'ai connu d'Asie que des Chinoises, est-ce vrai avec toutes les asiatiques?

Avec celle d'après qui était blanche  j'ai eu impression étrange de passer de la Ferrari au tracteur, mais elle était américaine, ceci explique cela je crois, ne perdez pas votre temps avec les américaines, pardon à celles qui pourraient me lire.

J'ai pris cette habitude de bourrer mes poches d'un change suite au problème suivant qui m'est arrivé.

Au début ou j'allais en club échangiste, je m'étais approché une fois d'un attroupement assez chaud.

Bien sur on était un groupe d'hommes autour de la dame, l'un deux qui était proche de moi est reparti tout d'un coup, ce qui m'a surpris.

En sortant moi-même ensuite de l'attroupement, je me suis rendu compte d'une grande trace gluante sur mon caleçon dont l'origine liée à mon voisin pressé ne faisait aucun doute.

En début de soirée il m'a fallu donc laver mon caleçon dans le lavabo des wc, et essayer de le sécher à la souffleuse pour mains humides. Très désagréable.

Depuis je mets un caleçon dans chacune de mes poches quand je vais en club.

Récemment, autre problème, impossible de le retrouver dans la pénombre de l'alcôve du club libertin ou l'on était, du coup je suis allé chercher mon change, me promettant de revenir quand tout le monde serait ressorti et d'entamer des recherches.

Heureusement un mari aimable me l'a rapporté avant, merci à lui.

Actuellement on trouve plus difficilement des caleçons noirs dans le commerce, plutôt des boxers, mais c'est moins pratique pour une douce petite main de s'y infiltrer.

Quand à parler d'habillement, je passe sur les hommes mariés de l'après midi, souvent ridicules dans leur truc à rayures ou à fleurs de jeune ou vieux vrai adultérin mais faux échangiste, pourquoi y ajouter souvent en plus des chaussettes de tennis?

Penser qu'un caleçon à élastique large est plus pratique pour y loger un à deux préservatifs d'avance, plus pratique que d'aller les chercher au moment utile, surtout que dans certains clubs libertins pourtant haut de gamme on n'en trouve plus en fin de soirée.

Sur votre caleçon, ne mettez pas pour autant à cheval votre gsm à clapet, très désagréable quand ça sonne en pleine action, je l'ai vu une fois dans un club (mais j'ai cru comprendre qu'en fait il se servait de la faible lumière du portable pour voir de près entres les jambes de la dame dans l'alcôve sombre quand la situation s'y prêtait), ou alors mettez en mode vibreur...

Elle a dans les 25 ans, très mince, blonde à cheveux assez longs, vraiment belle, de visage et de corps, aucune vulgarité de trait.

On les voit de temps en temps en club, avec son mari, jeune comme elle, plutôt en grand club car il faut du monde, quand ils sont la les hommes se passent le mot.

Parce que c'est une de ces gang bangeuse rare qui prend tout, tout le monde, pendant des heures, par toutes les voies, et qui n'est pas sponsorisée par l'établissement.

Une fois ca a duré trois heures, un collègue de gang m'a dit qu'il avait compté environ 50 hommes, je le crois.

Au bout d'une heure elle colle de sueur sous la main, pas seulement de sueur.

Il faut se glisser entre les autres pour l'atteindre, se placer en se disant qu'elle va bouger et qu'on sera alors dans la bonne position. Le gang bang est aussi une stratégie, avec nécessité d'un peu de chance pour arriver au bon moment. Mais avec elle on peut simplement attendre qu'il y ait moins de monde, que les autres soient fatigués.

Pendant que je la prends quelqu'un me crie "vas-y" , légèrement déstabilisant, peut-être est-ce fait exprès, certains aiment bien essayer de casser une ambiance.

Son mari est discret, mais il n'aime pas qu'il y ait un obstacle a son regard sur elle avec les autres, il pousse de la main alors.

Si personne ne peut plus la prendre, il semble mécontent et ils partent direct.

Il aime entendre les commentaires sur place et aussi beaucoup sur internet en messenger et se plaint sur des forums qu'il n'en a pas assez.

Pendant qu'elle prend les hommes d'autres couples passent et regardent. Des maris de femmes libertines qui visiblement n'ont pas l'accord de leur moitié jettent un regard envieux sur les autres.

Je les croise à la douche ensuite, il n'y a pas de contact visuel ou de mots échangés avec L et son mari, ils sont dans leur bulle, ils ne cherchent pas autre chose..

Mon collègue de gang me dit qu'elle doit être folle. Malheureusement dans ce milieu ceux qui ont profité sont souvent les premiers à critiquer ou traiter de s... 

J'ai intitulé cet article Elle s'appelle... parce que j'ai mis très longtemps à savoir son prénom, je demandais, mais personne ne le connaissait, je l'ai appris par hasard dans un post par son mari sur internet.